Archives de Catégorie: Articles de presse

CHAMPIONNAT DE FRANCE  PHASE 3   dimanche 11 décembre 2022

1671 Joueurs  Classement des joueurs en Bretagne au niveau national

RESULTATS DE LA BRETAGNE AVEC CLASSEMENT NATIONAL version pdf

RESULTATS DE LA BRETAGNE AVEC CLASSEMENT NATIONAL version xls

LES TROIS PREMIERS EN BRETAGNE 

TABLE NOM CAT S Place CCLUB CUMUL
TOP 2976
1 MAUDIEU Patrick S 3B 1682 S27 2790
2 BAUDRY Monique V 2B 643 H05 2753
3 DAMON Jérôme S 3B 1401 S09 2738

RESULTATS DETAILLES

CLUB
PERROS-GUIREC 21 RESULTATS  21 RESULTATS 
PLUGUFFAN 24 RESULTATS  24 RESULTATS 
SAINT-MALO     16 RESULTATS 16 RESULTATS
SARZEAU 38 RESULTATS  38 RESULTATS 
BRETAGNE 98 RESULTATS 98 RESULTATS 

 

PREMIERS RESULTATS DE LA PHASE 3 SUR LE SITE DE LA FEDE

 

PARTIES

PARTIE 1 Rejouer la partie 1 PARTIE 2 rejouer la partie 2 PARTIE 3 rejouer la partie 3

 

PHOTOS  DE PERROS-GUIREC 

PHOTOS  A PLUGUFFAN

 

PHOTOS A SAINT MALO

PHOTOS A SARZEAU

QUALIF. VERMEILS DIAMANTS RUBIS  Samedi 15 octobre 2022

LES CINQ PREMIERS EN BRETAGNE

TABLE NLIC NOM CAT S Place CCLUB CUMUL
TOP 1860
1 1041211 SALANSON Gilbert V 2A 382 S20 1803
2 2213933 CALVEZ Renée V 3A 953 S27 1756
3 2656805 PAPAZIAN Georges D 4B 2304 S07 1727
4 2003324 GAGNARD Patrick V 3B 1575 S12 1713
5 2247575 DELCOURT Jean-Marc V 2A 520 S13 1711

RESULTATS 

CLUB PDF EXCEL 
CADEN 80 RESULTATS  80 RESULTATS
DINAN 41 RESULTATS  41 RESULTATS 
DOUARNENEZ 34 RESULTATS  34 RESULTATS 
LANDIVISIAU 40 RESULTATS  40 RESULTATS 
PLEUBIAN 46 RESULTATS  46 RESULTATS 
BRETAGNE 241 RESULTATS EN BRETAGNE 241 RESULTATS EN BRETAGNE
NATIONAL Premiers résultats sur le site de la Fédé

PARTIES 

partie 1 Rejouer la partie 1 partie 2 rejouer la partie 2

PHOTOS  DE PLEUBIAN 

 

 

PHOTOS DE CADEN

 

PHOTOS  A DINAN 

 

Dinard. Le Scrabble, un remède contre le stress 9 février 2021

Dinard. Le Scrabble, un remède contre le stress

 Nelly Huet prouve que le jeu de Scrabble n’est pas réservé au troisième âge et qu’il est un bon moyen de lutter contre le stress

Nelly HUET montre qu’on peut s’entraîner seul au scrabble

Trois questions à…

Nelly Huet

Vice-présidente du club de scrabble de la côte d’Émeraude section Dinard.

Souvent relégué au rang des activités de seniors, le jeu du scrabble est un loisir qui intéresse aujourd’hui toutes les générations. Qu’en pensez-vous ?

Dans la période anxiogène que nous traversons, le jeu de Scrabble est un dérivatif efficace qui permet de sortir de l’isolement et de chasser l’ennui. Il s’adresse à tous les âges car c’est un bon moyen de se vider la tête et de cultiver sa mémoire. Il a aussi l’avantage de se pratiquer seul, en famille et même sur internet. Les jeunes qui s’intéressent à cette activité se dirigent plus vers la compétition.

Le Scrabble a connu, au fil du temps, des évolutions allant jusqu’à créer chez certains une vraie passion. Pouvez-vous les détailler ici ?

Il existe deux formes de Scrabble, le classique et le duplicate. Dans le Scrabble classique, qui est le plus pratiqué, l’objectif est de cumuler des points, sur la base de tirages aléatoires de lettres. L’intérêt réside surtout dans la capacité à bloquer son adversaire. Dans le Scrabble duplicate, le tirage des lettres étant commun à tous les joueurs, il y a plus d’équité. Chacun dispose de son plateau. La solution retenue est la meilleure et récompense de celui qui totalise le plus grand nombre de points.

Aujourd’hui, le Scrabble, dit scolaire, commence à trouver sa place dans les écoles. Les éducateurs y sont très favorables, dans la mesure où il permet de travailler sur les conjugaisons et d’élargir le vocabulaire.

Comment jouer en ce moment ?

Pour le moment, la plupart des clubs étant fermés ou à très faible jauge, il est plus intéressant de jouer sur internet, si on veut se lancer des défis. Mais rien n’empêche de s’inscrire à un club de Scrabble.

Contact et renseignements : 02 96 41 93 64

 

 

Ouest-France – 09/02/2021

Arlette Angelini – Ouest France 15 mai 2020

LAILLE. « Ce qui me manquait le plus, c’était un câlin »

Arlette, 88 ans, dans la résidence senior de Laillé, raconte son confinement, et fait appel à ses souvenirs.

ARLETTE ANGELINI

Comment s’est passé votre confinement ?

J’ai eu la chance d’être dans un environnement très protégé, mais j’ai forcément ressenti la solitude dans mon T2. Je voyais l’infirmière deux fois par semaine, mais le confinement me pesait. Heureusement, mon fils aîné, qui habite Noyal-Châtillon-sur-Seiche, m’apportait une ou deux fois par semaine des courses, des livres ou la pharmacie. Il s’est aussi occupé de tous mes moyens de communication modernes et c’est une révolution pour moi. J’ai connu l’époque où avoir le téléphone chez soi était un événement. Je communique par mail tous les jours. Mais sans aide, je n’aurais jamais pu installer la visio. J’ai de la chance, mais je n’ose imaginer le nombre de personnes âgées démunies dans ce domaine.

Ces outils ont rompu la solitude ?

Un peu. Je fais du Scrabble avec des joueurs à l’autre bout du monde, je regarde des séries… J’essaie d’apprivoiser un outil très rétif pour moi : le smartphone. Il faut être vif, précis, et avoir une bonne vue. À mon âge, c’est plutôt un challenge. J’apprends à faire des SMS et à envoyer des photos. La visio me permet de garder les contacts avec mes enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants.

Aviez-vous déjà connu une situation similaire ?

Jamais, même pendant la guerre, en 1940, lors des bombardements, près d’Angers. Durant toute cette période, pour nous occuper, ma sœur et moi avions fabriqué un Paris Trust (sorte de Monopoly). La table de jeu, les cartes, de propriétés, peintes et écrites une à une à la main, les billets, et les maisons faites avec le ruban métallisé antiradar largué par les alliés… C’était bien autre chose qu’aujourd’hui. Nous avions faim, nous pouvions perdre la vie d’un coup, mais nous pouvions nous soutenir, nous toucher, nous embrasser. Pour être très honnête, ce qui me manquait le plus, c’est tout bête, et ça ne coûte rien, c’était un câlin.

 

Ouest-France – 15 mai 2020

 

Ouest France Carhaix 22 septembre 2018

Cliquer ici

 

Article Ouest-France du 23 septembre 2018

Carhaix. Martine Boulé, infatigable joueuse de Scrabble

Martine Boulé a fait le déplacement de Landivisiau pour participer à sa 9e ronde de Bretagne

Pour la 9e année, Martine Boulé est venue se mesurer aux meilleurs joueurs de Scrabble de la région. Témoignage d’une joueuse invétérée.

 Samedi, 14 h. Les cent compétiteurs s’installent dans ce qui va être leur arène le temps d’une après-midi : les halles de Carhaix. Ici visiblement, tout le monde se connaît, mais attention, il ne faut pas s’y méprendre. Si l’ambiance est bon enfant à première vue, ces 100 compétiteurs sont là pour remporter la ronde de Bretagne.Depuis le mois de juin, les équipes de toute la région se sont mesurées les unes aux autres.

Martine Boulé est venue de Landivisiau pour participer à cette finale : « C’est la neuvième fois que je participe », explique-t-elle.Si elle reste modeste, Martine n’est pas une néophyte, un mot qui pourrait rapporter bon nombre de points, mais pas autant que ce joli coup dont Martine se rappelle : « J’avais réussi à placer « exceller » sur un mot compte triple. Ça m’avait rapporté plus de 200 points. »

 Des règles strictes

Une organisation bien rodée, digne des plus grands événements sportifs, était de mise pour l’occasion. Neuf arbitres étaient mobilisés, un pour vingt joueurs, parce qu’ici, hors de question de ne pas respecter les règles… à la lettre. Gilbert Barazer, membre du club de Carhaix, tempère tout de même puisque la sanction en cas de tricherie n’est qu’une « remontrance de la part des juges ».

 Jean-Marc Delcourt, président du comité régional de Scrabble, officie. Sur chaque table sont disposés un plateau, un numéro, et une gourde. Martine est à la table 64, ce nombre, c’est son dossard. Il permet de l’identifier au milieu de ses 99 adversaires. La gourde, c’est pour s’hydrater afin de rester concentré durant les quatre heures de cette épreuve de sport cérébral. Car trouver un mot en 2 minutes 30 avec des lettres imposées, cela nécessite une certaine gymnastique intellectuelle.

À la mi-temps, sobrement appelée pause goûter, Martine n’est pas très satisfaite de sa performance, mais cela ne suffira pas à venir à bout de sa passion pour cette activité, elle qui s’entraîne sans prétention. « Depuis 2011, je joue sur internet. J’adore ça. »Martine Boulé le concède, à la fin d’une telle épreuve, la fatigue se fait ressentir, mais pour elle, le goût du jeu est plus fort : « Oui c’est fatigant, mais je rejouerai quand même en rentrant chez moi ! »

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